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Janvier
C’’est l’hiver. L’arbre est au repos. Rien ne bouge en lui. La
structure aérienne est inerte car la sève s’est retirée des rameaux et
des bourgeons.
Elle n’est plus fluide, mais pâteuse.
Les vaisseaux de sève sont “bouchés” par de véritables bouchons de sève solidifiée.
Les radicelles sont inertes (noires). Surtout ne dépotez pas pour vérifier cela.
Comme l’arbre est au repos, il peut être attaqué par des parasites. Attention aux champignons qui aiment l’humidité excessive.
L’arbre conserve une légère activité. Ses lieux d’échanges sont les stomates sur l’écorce du tronc et des branches.
On peut éventuellement le traiter ou le réhydrater un peu par pulvérisations sur ces zones.
Les racines sont aussi au repos. Elles vivent au ralenti. Attention, les cellules des radicelles qui assurent les fonctions d’échanges sont bien vivantes. Elles respirent un tout petit peu et s’hydratent ou se déshydratent légèrement.
Donc, attention, le substrat ne devra pas être noyé en permanence, ni trop compacté. Il doit rester sain.
On peut arroser de temps en temps pour éviter le dessèchement des radicelles. Mais pas trop !
Il est possible de poursuivre les activités de ligature et de nettoyage du mois de décembre.
Hiver
Elle n’est plus fluide, mais pâteuse.
Les vaisseaux de sève sont “bouchés” par de véritables bouchons de sève solidifiée.
Les radicelles sont inertes (noires). Surtout ne dépotez pas pour vérifier cela.
Comme l’arbre est au repos, il peut être attaqué par des parasites. Attention aux champignons qui aiment l’humidité excessive.
L’arbre conserve une légère activité. Ses lieux d’échanges sont les stomates sur l’écorce du tronc et des branches.
On peut éventuellement le traiter ou le réhydrater un peu par pulvérisations sur ces zones.
Les racines sont aussi au repos. Elles vivent au ralenti. Attention, les cellules des radicelles qui assurent les fonctions d’échanges sont bien vivantes. Elles respirent un tout petit peu et s’hydratent ou se déshydratent légèrement.
Donc, attention, le substrat ne devra pas être noyé en permanence, ni trop compacté. Il doit rester sain.
On peut arroser de temps en temps pour éviter le dessèchement des radicelles. Mais pas trop !
Il est possible de poursuivre les activités de ligature et de nettoyage du mois de décembre.
Arrosage :
Pour les espèces d’extérieur, l’arrosage doit être réduit à son strict minimum : ne pas laisser la motte s’assécher.
Les besoins des caducs sont presque nuls et même les persistants ont une activité très
réduite. Leur capacité d’absorption est donc fortement diminuée, et le risque de pourriture des racines est important si la motte reste détrempée.
Pour les essences tropicales et subtropicales qui hivernent à l’intérieur, l’arrosage doit se poursuivre à son rythme habituel, en fonction des besoins de l’arbre qui seront très différents selon la température de la pièce (18-20°C pour les tropicaux, idéal autour de 15°C pour les sub-tropicaux), l’hygrométrie
et la luminosité. Au toucher, le sol doit être légèrement humide, régulièrement.
Fertilisation :
Néant pour les essences d’extérieurs, réduite pour les tropicaux et les subtropicaux. Même si ces dernières espèces ne montrent pas de signe d’un hiver marqué, leur activité est ralentie par la longueur réduite des jours.
Si elles hivernent sous éclairage artificiel, fertiliser normalement.
Ligatures :
A partir de la fin d’hiver, lorsque le bois reprend un peu de souplesse (période variable selon les espèces).
Tailles :
Taille de structure en fin d’hiver pour les extérieurs, au moment où les fortes gelées ne sont plus à craindre.
Rempotage :
Possible pour les feuillus européens caducs,à partir de fin novembre si les arbres sont protégés du gel. Sinon, attendre que les risques de gels forts soient écartés (février à début mars selon régions) mais avant débourrement.
Divers :
En fin d’hiver, il est possible de démarrer en intérieur lumineux les semis que l’on placera en extérieur au printemps afin que les plants se développent suffisamment avant l’automne-hiver suivant.
Pour les espèces d’extérieur, l’arrosage doit être réduit à son strict minimum : ne pas laisser la motte s’assécher.
Les besoins des caducs sont presque nuls et même les persistants ont une activité très
réduite. Leur capacité d’absorption est donc fortement diminuée, et le risque de pourriture des racines est important si la motte reste détrempée.
Pour les essences tropicales et subtropicales qui hivernent à l’intérieur, l’arrosage doit se poursuivre à son rythme habituel, en fonction des besoins de l’arbre qui seront très différents selon la température de la pièce (18-20°C pour les tropicaux, idéal autour de 15°C pour les sub-tropicaux), l’hygrométrie
et la luminosité. Au toucher, le sol doit être légèrement humide, régulièrement.
Fertilisation :
Néant pour les essences d’extérieurs, réduite pour les tropicaux et les subtropicaux. Même si ces dernières espèces ne montrent pas de signe d’un hiver marqué, leur activité est ralentie par la longueur réduite des jours.
Si elles hivernent sous éclairage artificiel, fertiliser normalement.
Ligatures :
A partir de la fin d’hiver, lorsque le bois reprend un peu de souplesse (période variable selon les espèces).
Tailles :
Taille de structure en fin d’hiver pour les extérieurs, au moment où les fortes gelées ne sont plus à craindre.
Rempotage :
Possible pour les feuillus européens caducs,à partir de fin novembre si les arbres sont protégés du gel. Sinon, attendre que les risques de gels forts soient écartés (février à début mars selon régions) mais avant débourrement.
Divers :
En fin d’hiver, il est possible de démarrer en intérieur lumineux les semis que l’on placera en extérieur au printemps afin que les plants se développent suffisamment avant l’automne-hiver suivant.